Quand le nuit je m’éveille, c’est toi que j’aperçois
Quand je m’endors enfin, c’est toi que je perçois
Quand mes rêves m’emportent, c’est à toi que je songe
Quand les cauchemars m’assaillent, c’est bien toi qui me ronge
Quand toute ma vie s’embrase, c’est toi qui me rallume
Quand j’embrasse des lèvres c’est les tiennes que je hume
Je n’ai rien à te dire que tu ne saches déjà
Les grands mots sont pour d’autres, nous gardons notre éclat
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