Il y a un mystère chez Elodie qui me touche. Un mélange de douceur, de fragilité et tout à la fois une grande force en elle, qu’elle ne soupçonne peut-être pas elle-même. Lorsque soudain elle apparaît à l’écran, les deux facettes s’affrontent, se téléscopent sans qu’il soit possible alors de distinguer l’une de l’autre comme si cette force s’enrichissait de douceur ou bien la fragilité se nourrissait de puissance. Sa mélancolie vient de là, de cette faculté d’alternance. Tantôt petit oiseau perdu tantôt soleil autour duquel le monde tourne. J’aime cet œil qui brille, cette peur contrôlée, ce rire franc, ce jugement qu’elle porte sur elle-même, souvent sévère et implacable, cette réserve qui soudain se transforme en bouffée d’exubérance. Elodie colle au film, tantôt rire tantôt tristesse, entre pudeur et fulgurance. S’il fallait la définir par un objet, elle serait un nuancier de couleurs, ou une demi-saison. Autant de promesses discrètes mais implacables. Qui explosent soudain avec une vigueur insoupçonnée.
La fragilité est une force tranquille.
Rédigé par : walden | 24 juillet 2006 à 04:30
Je ne sais pas. Pourtant quand je regarde Elodie, j'y crois.
Rédigé par : MV | 24 juillet 2006 à 10:39
En fait Elodie c'est un rayon de soleil qui fait mal aux yeux tellement il est resplendissant !
Rédigé par : VINCENT DU VAJ CREW | 28 décembre 2006 à 10:44
Je pense que ton compliment lui ira droit au coeur, Vincent. Et surtout préviens nous des prochains battles du VAJ CREW, qu'on s'y rende nombreux.
Rédigé par : MV | 29 décembre 2006 à 00:10