...dans les bras de l’équipe portugaise,
je les remercie. Me revient alors à l’esprit les jours de tournage difficiles, les doutes, les tensions, mais ne reviennent alors que le dévouement de tous. La gène des machinos après l’accident qui nous coûte une caméra. Felipe, le régisseur débordé par nos demandes et qui cherche sans cesse une solution, Carlos, le perchman qui accepte de nous suivre sur nos cinq semaines parisiennes, Maria José la deuxième assistante, parfaitement bilingue qui s’arrache les cheveux avec le casting portugais que nous ne trouvons pas, Vasco l’assistant vidéo qui me place toujours, en silence, le combo (retour vidéo en direct de la prise de vue caméra) dans l’axe de jeu pour que je puisse suivre à la face les comédiens, en regardant en même temps le cadre et qui n’a jamais réussi à me tutoyer…
Commentaires